Georg Friedrich Haendel
Avec le Concert Spirtuel dir Hervé Niquet.
Une immense joie de retrouver le public et de partager la musique vivante et vibrante.
Georg Friedrich Haendel
Avec le Concert Spirtuel dir Hervé Niquet.
Une immense joie de retrouver le public et de partager la musique vivante et vibrante.
Ce spectacle en cours de création à bénéficier du dispositif Circus Next. Chiara Marchese est lauréate.
C’est une joie de l’accompagner (regard extérieur) pour cette nouvelle création après celle que nous avions faite ensemble : « Mavara »
bravo à tout l’équipe artistique et de production.
https://mondoretbaars.bandcamp.com/album/no-bellows
No Bellows is completely acoustic. The duo’s focus was on creating textures and vectors without the input of synthesisers. The compositions that came out of these recordings are no less abstract, but they move to a slower inner clock and deriving drving impulses from within themselves. The album’s title is a reflection on the endlessness of a bowed string, as opposed to the phraseology of breath driven instrument (reeds, voice, brass), but also on the pre-industrial origins of cello and hurdy-gurdy.
Créer des rencontres pour sortir de la simple juxtaposition du travail du circassien et du musicien
Le musical n’est plus seulement au service du visuel, il sert la performance.
Il s’agit de trouver les modalités pour exploiter, bonifier, décupler les propriétés propres à chaque médium.
Objectifs du stage
Oser confronter musique et mouvement et découvrir ensemble de nouvelles dynamiques d’écriture.
Permettre l’élaboration de processus créatif
Donner des clés et savoir sculpter l’espace de la performance.
Créer un nouvel espace disponible, partagé fait de choix et d’indépendance reliée.
Produire du mouvement, du son, de la géométrie, de l’espace.
Acquérir de nouvelles sensibilités.
Développer l’écoute et l’analyse du son. Saisir la différence entre ouïr, entendre, écouter et percevoir.
Rechercher la polyrythmie du son et du mouvement
Nous chercherons la rencontre des ces deux corps de métier pour créer un troisième espace, un terrain
de jeux, sans que l’un ou l’autre soit au service. Nous inventerons de nouveaux équilibres sonores et
physiques
Comment être en lien, partager la scène sans être dans
l’illustration sonore ?
Comment être présent, sans se faire absorber par le visuel,
au point de devenir absent à son propre corps et à
l’espace ? L’intérêt de ce stage pour les musiciens est de tisser de
nouveaux liens entre leurs corps, la musique et
l’instrument.
Oser être présent à soi par le mouvement du corps.
Il s’agit de réactiver le corps du musicien trop souvent oublié, dans sa richesse de sensations, d’écriture dans
l’espace et de dialogue avec le circassien
Le corps
Quand le musicien est en scène il ne sait pas que son
corps donne à voir beaucoup d’informations autres que
musicales. Comment prendre conscience de celles-ci ?
La posture à l’instrument, cette forme inscrite entre
habitude et exigence technique, pouvons-nous en sortir ?
La questionner ? L’observer ? En prendre conscience pour
s’ouvrir à d’autres corporalités ?
L’espace
Sur scène comment s’ouvrir à tout l’espace ? Le regarder
dans ses détails, les ombres et les lumières ; la profondeur,
la texture des murs ? Le visiter en le parcourant et aussi
prendre avec soi toutes ces caractéristiques pour jouer
autrement.
Le son est porté par l’air, nos corps se déplace dans l’air. Et
si nous faisions voyager les deux dans l’espace.
Le circacien est ivre de mouvements. La musique lui donne de
l’élan, de la vitesse, du rythme, elle l’accompagne.
Et pourtant, il ne connait pas toujours bien le musicien.
Comment l’aborder, s’immiscer dans son espace ? Peux-il le
toucher, s’approcher de son corps-son ?
Quelles relations possibles entre eux avant que naissent le son et
le mouvement ? Comment de se mettre à l’écoute de son silence,
ne plus avoir peur du silence.
La vibration
Ouvrir ses oreilles à la subtilité vivante qui vibre là, devant, à
coté, sous lui, au dessus, au loin. En quoi la texture du son, ses
dynamiques, ses formes, ses déchirements, les modes de jeux
pourraient interférer, ouvrir des brèches, des chemins nouveaux.
La résonance
il s’agit de développer des modes d’interactions avec les
musiciens, ouvrir des champs nouveaux entre résonance
musicale, corps joué et corps entendant.
Construire un vocabulaire commun, sensible, pour construire
d’autres modes de collaboration. Observer tous ces gestes
instrumentaux, comme une nouvelle grammaire à partager et /ou
à subvertir.
Ce travail permet d’ouvrir et d’affiner la perception musicale.
Nous pouvons intégrer la musique et le musicien comme point de
départ d’une écriture au plateau; réussir à traduire l’intraduisible.
C’ est une petite forme de cirque burlesque et poétique.
Le spectacle est composé comme un triptyque, avec 3 éléments simples interdépendants :
un grand cercle en métal, un sweat à capuche et le corps de l’artiste.
Chacun va être protagoniste d’une des trois parties.
Ils sont en interaction constante, et ne peuvent exister individuellement qu’au travers de celle-ci, dans une construction réciproque.
A travers un jeu de manipulation et de jonglerie, l’illusion opère et une autre réalité devient possible.
Mélodie associe cirque et marionnette et crée une extension textile à la roue Cyr
© A.Richard
Sortie de résidence à Salmaize septembre 2018.
Exposition Université de Paris 8.St Denis Decembre 2019
Peintures: Vincent Gassin. https://www.vincent-gassin.com/portfolio/